11 juillet 2012
LA BEANCE Sandrine FABBRI
La Béance « Depuis le matin, je t’ai suivie à la trace, une peur instinctive accrochée au ventre, je t’ai observée, surveillée. Fruit de tes entrailles, les miennes me tenaillaient. Nous n’avons rien fait d’autre. Que voir des gens. Nous n’avons pas bouclé...